Khanrell Til' Biyka, FINISHHHHHHHHHHHHHHH [Validé]

Citation :

Nom : Til' Biyka. Khanrell n'a jamais prit la peine de demander à ses parents pourquoi ils portaient le nom Til'... Enfaite, elle ignore si eux-même le savent. Se nom de famille les suivent depuis si longtemps qu'ils en ont oublié l'origine. De toutefaçon, la noblesse n'intéresse pas particulièrement Khanrell, et lorsqu'on lui demande son nom, elle répond habituellement Khanrell Biyka.
Prénom : Khanrell
Âge : 11 années
Orientation sexuelle: Indéterminée
Fonction : Élève de deuxième année à l'accadémie de Dessin

Ville de résidence : Née à Al-Far, réside à Al-Jeit
Relations: Parents : PNJ, Amis: bah mes copains de classe?

Caractère : Khanrell Til’ Biyka, de par sa consistance faible, n’a jamais pu être une enfant énervée et turbulente comme ses six frères. Elle grandit donc dans le calme et la douceur, et c’est ce qu’elle continue de faire aujourd’hui. Elle aime bien jouer avec ses amis de classe, mais peut rarement les suivre partout sans risquer de s’épuiser. Elle va donc souvent s’enfermer dans sa chambre le soir pour écrire, dessiner, et coudre. Lorsque l’envie lui prend, elle sort son violon et le fait chanter. Malgré tout, elle garde le sourire et reste toute optimiste. Elle refuse de reculer devant l’échec, et recommence jusqu’à la réussite tous les travaux d’école. Elle dit toujours que la seule limite qui devrait nous être permise d’avoir, c’est celle de notre imagination. Or, Khanrell est très créative…

Description physique: Khanrell Til’ Biyka a des cheveux très longs qui font la fierté de sa mère, de couleur rose foncé. Soit exactement la même teinte que ses grand yeux brillant. Son regard pétillant ne parviendra jamais toutefois, malgré toute sa brillance, de camoufler les défauts de l’enfant. Née prématurément, Khanrell Til’ Biyka grandit très peu, et cela ne semble pas vouloir changer. De plus, malgré tout ses efforts pour manger beaucoup, elle ne prend pas de poids, ce qui lui donne l’air fragile. D’ailleurs, elle l’est, fragile. Elle a très peu voir aucune endurance physique, et ne peut s’adonner qu’à des activités calmes, comme la couture et la musique.

Ce que vous aimez: La couture, le dessin, la couture, l'écriture, la couture... hum la musique... Et enfin la couture!
Ce que vous détestez:Les bruits inutiles (Si ce que tu as à dire n'est pasplus beau que le silence-ou que mon violon-...bin... ferme-la!), les gens turbulents...

Histoire : Il était une fois, la famille Til'Biyka...
Qui eut l’idée génialissime de donner à la famille Biyka le titre de Til’ ? Enfaite, personne de le sait. Cela doit être depuis plusieurs générations, car tous on oublié comment la famille Biyka est devenue une famille noble. Peut importe, aujourd’hui tout les représentant de la famille Til’ Biyka sont de simples et fiers habitants de Gwendalavir. Pas riche, pas pauvre, juste au centre. Juste en aise.
L’une des familles Til’ Biyka se trouve à Al-Far. Ou plutôt, se trouve près de cette ville. Ils sont environ au quart du chemin entre Al-Far et Tintiane. Elle possède un terre immense de vergers et de pâturages. Ils auraient aussi bien pu vivre en communauté, mais les parents adoraient la vie de ferme. Il travaillait donc leur propre nourriture, leur propre maison. Cette ferme fut jadis construite par l’arrière grand-père du père de Khanrell, et c’est désormais ce dernier qui possède la terre. Ils éprouvèrent donc un plaisir inégalable en poursuivant le travail de leurs ancêtres, tout en élevant la plus grosse famille que sa lignée est vue depuis les dernières générations.
Les six premiers enfants de la famille Til’ Biyka furent tous des hommes. Héritant de l’amour de la terre de leur père, ils apprirent les devoirs d’un bon fermier et tout ce que cela implique. Dès leur plus jeune âge, les six frères connaissaient déjà l’art dompter les chiens, traite les vaches, retourner la terre… Le bonheur du père était complet, mais pas celui de la mère. Bien qu’elle adorât ces fils, il lui manquait d’enseigner la couture, la cuisine et la musique à une éventuelle petite fille. Lors de sa septième grossesse, elle espéra de tout son cœur que son enfant soit une fille. Malheureusement, quelques semaines avant sa mise à terme, elle perdit ses eaux. Le bébé naquis prématurée, donc très faible, et nul ne pouvait jurer qu’elle survivrait. La mère s’en occupa du mieux qu’elle le put, et après milles efforts de tendresse, son septième enfant prit un peu de poids et sa vie fut sauve. Elle avait enfin réalisé son rêve, elle avait enfanté une fille, et elle l’appela Khanrell. Et qu’elle adorable petite fille. Elle ne pleurait pas, ne se plaignait jamais. Ses yeux roses brillaient sans cesse de plaisir, au grand bonheur de ses parents.
Toutefois, l’accouchement prématuré laissa des séquelles à Khanrell. Celle-ci resta toute chétive. Elle était trop fragile physiquement pour aider ses frères à travailler dehors. De toute façon, sa mère avait d’autre plan pour elle. Vers l’âge de 5 ans toutefois, elle dut se rendre à l’évidence : elle était trop fragile pour la cuisine et le ménage. Elle n’abandonna toutefois pas à lui apprendre la couture et la musique. Très vite, Khanrell développa un grand sens artistique. Elle avait une créativité déconcertante pour une enfant de cet âge. Elle se fabriquait des robes, ou en fabriquait à sa propre mère. Des robes dans le genre que vous n’auriez jamais portée en publique, tant elles étaient extraverties. Mais ce qu’elles étaient belles! Son talent au violon en impressionnait plus d’un, et faisait de la gamine la vedette de toutes les fêtes.
Nullement satisfaite de se contenter de coudre et de jouer de la musique, Khanrell se procura bientôt de quoi écrire et dessiner. Elle composa poèmes et paroles de chansons de son cru, qui accompagnèrent ses mélodies déjà ravissantes sur le violon. Puis elle dessina… et dessina encore et encore. Elle dessinait ses robes de rêves, celle qu’elle n’arrivait pas encore à reproduire par la couture. Elle dessina ses personnages de ses chansons, ceux qu’elle imaginait à la perfection. Mais SURTOUT, elle dessinait des robes. Des tonnes de robes. Sa chambre était tapissée de ses dessins, des robes les plus chics aux robes les plus extravagantes. Khanrell aimait les vêtements. Elle n’avait pas encore neuf ans…
Elle n’avait pas encore neuf ans la première fois qu’elle dessina. Et la je ne parle pas d’une simple reproduction de ses pensées sur un parchemin grâce à son fusain. Je parle du vrai dessin! Khanrell n’avait pas encore neuf ans la première fois qu’elle pénétra dans les Spires de l’Imagination. Cette robe était pourtant toute simple. Pour la faire, elle s’était procuré un tissu violet foncé, presque gris. La jupe était courte, mi-cuisse, et le haut sans manches. Elle possédait un col double qui montait sous le menton. Pour remplacer les manches, elle voulait des gants. De long gants du même tissus qui monterait à mi-chemin entre le coude et l’épaule. Sous le col serait incrusté une belle petite croix d’argent, que sa mère lui avait promit pour son anniversaire de neuf ans. Elle ne l’avait pas encore, mais savait à quoi elle ressemblerait, et voudrait la mettre sur sa robe. Le problème? S’était la première fois qu’elle travaillait cette étoffe, et elle n’en venait pas à bout. Si douce qu’elle lui tombait des mains, même en la serrant aussi fort qu’elle le pouvait. Si mince que, si elle ne l’avait pas choisie si foncée, on aurait vu au travers, si élastique qu’elle lui ferait sans doute encore à l’âge adulte –surtout qu’elle promettait ne pas grandir beaucoup, la pauvre. Une étoffe dont Khanrell ne connaissait pas le nom, et qui représentait un défi de taille. C’était son premier véritable défi (après ses tentatives vouées à l’échec en cuisine) et… elle y passait ses nuits… Sans réussir à dompter l’étoffe. Malgré tout ses efforts, le résultat n’était jamais celui qu’elle espérait… Alors elle recommençait, encore et encore. Sa mère voulu l’aider, mais elle refusa son aide. C’était SON défi, et elle le garderait pour elle! Si il y avait bien une chose dans laquelle Khanrell pouvait se donner à fond sans s’épuiser, s’était bien la couture.
Un soir, elle s’arrêta de travailler, et regarda son travail. Rien ne concordait avec son esquisse. Elle n’obtenait pas ce qu’elle voulait. Rompue par la fatigue, car elle ne s’était presque pas reposée depuis 3 jours et que sa faible condition l’obligeait à prendre beaucoup de repos. Ses yeux se fermaient tous seuls, fixant une seconde l’esquisse, la seconde suivante l’étoffe. Elle la voulait tellement, cette robe… Elle la désirait encore plus que la croix d’argent que sa mère lui avait promit. Elle hantait ses rêves et ses jours.
Elle la voulait…
Elle l’obtenue…
Sous ses yeux ébahis, l’étoffe bougea d’elle-même. Se transforma, se modela selon ses désirs. Khanrell n’avait pas conscience de ce qui se passait, et l’observait avec stupéfaction. Elle ne savait pas que c’était elle qui créait se phénomène, mais ne pouvait se résoudre à chercher le dessinateur –car elle savait ce qu’était l’art du dessin- tant elle était fascinée par sa robe. En quelques secondes, son travail de plusieurs jours de résolu devant ses yeux. Même la croix, que sa mère n’avait pas encore achetée, était soudée à sa place…
Elle avait sa robe.
Hébétée, Khanrell la prit d’une main tremblante. Elle était aussi douce que dans ses songes. Aussi belle que son esquisse, voir encore plus! Elle avait SA robe. Fébrile, elle retira ses vêtements et enfila sa nouvelle robe. C’était mieux que dans ses rêves. Elle se plaça devant le miroir et…
Hurla.
De bonheur.
Sauf que… Ils étaient au beau milieu de la nuit. Ses parents arrivèrent donc, trois secondes et demie plus tard, en catastrophe à la chambre de leur benjamine, les grands-frères suivant de près. Imaginez un peu leur tête lorsqu’ils trouvèrent leur fillette, en parfaite santé, entrain de chanter et danser de joie.

-Khan… ma douce pourquoi cris-tu?

-Mama’!! Ma robe! Tu as vu!? JE L’AIIII MA ROBBEEE!

Cette soirée-là fut éprouvante, autant pour Khanrell qui eut besoin de presque 20heures de sommeil pour récupérer, que pour sa famille, qui eut un mal fou à la calmer. Le lendemain, la robe était redevenue simple étoffe, mais cela ne découragea pas le moins du monde Khanrell, car elle avait vu la robe se fabriquer sous ses yeux, et elle s'avait donc comme s'y prendre pour la refaire. Enfin lorsque, à son réveil, Khanrell leur expliqua comment le miracle était survenu, il y eut un long silence… Leur fille unique, une dessinatrice? Certes ils avaient eux-mêmes quelques faibles capacités de dessin, comme allumer un petit feu lorsqu’ils n’arrivaient plus à faire fonctionner la cuisinière, à réparer les fers des chevaux en cas d’urgence… Des travaux mineurs quoi… sans importance et très TRÈS rarement… Leur fillette… Leur si faible benjamine de huit ans… serait déjà dessinatrice?
Trois jours plus tard, leur sac de nourritures étaient pleins, leur charrette était prête et les chevaux scellés. La valise de Khanrell était pleine… juste au cas. La famille Til’ Biyka se dirigeait vers le sud.
Vers Al-Jeit.
Vers l’Académie de Dessin.
Vers son avenir.
Ils franchirent les portes d’Al-Jeit. Les sept enfants étaient fascinés par la splendeur de la ville. Lorsqu’ils arrivèrent à l’académie, Khanrell était très nerveuse. Elle savait que c’était le meilleur avenir que pouvait lui offrir ses parents, mais elle craignait cette séparation… Elle aimait plus que toute sa famille et ne voulait pas la perdre.
Mais l’académie l’attirait comme un aimant…
Ils entrèrent. Khanrell passa un test afin d’évalué ses capacités à devenir Dessinatrice. Le résultat était surprenant, vu celui puéril de ses parents. Sa créativité était à son comble. Le cercle bleu était immense. À l’intérieur de celui-ci, un peu décentré mais tout de même à l’intérieur, le cercle rouge de la volonté était à un peu plue de la moitié de la grosseur de sa créativité. Enfin, seul le cercle jaune, représentant le pouvoir, était petit et à moitié sortit du cercle de la créativité. C’était tout de même pas mal impressionnant, pour une fillette de neuf ans.

Spoiler:

Ouais neuf ans, car en cours de route, elle avait fêté son anniversaire. Sa mère lui avait bien sur offert la petite croix d’argent, qui avait disparu en même temps que la robe s'était défaite. Khanrell avait transporté son attirail de couture avec elle... elle pourra refaire sa robe en temps voulu
…
Khanrell Til’ Biyka se trouve à l’académie de dessin depuis deux ans maintenant, pendant lesquelles elle n’eut de cesse de s’améliorer et de prouver que son imagination n’avait quasiment pas de limites... Et que lorsqu’elle s’en trouvait une, elle la repoussait pour pouvoir allez plus loin.
Toujours plus loin.



Code du règlement : Ok Dahli =)
Comment avez-vous connu le forum ? Sur le forum d'Émeraude:)
Autres: Je tiens à préciser (sait-on jamais!) que je suis québecoise, pas française

Heyyy moi aussi j'suis Québécoise! ^^
Candidature à l'Académie acceptée

Bon, je vois des trucs dans ton histoire qui me chicotent... Khanrell, elle peut pas faire une robe comme ça, à sept ans, et surtout pas la faire durer. Et puis... T'as déjà fait de la couture? En faire à sept ans, c'est exceptionnel, alors faire des robes et tout ben... C'est ça. Ton histoire ferait plus pour une jeune fille de quinze ans... Alors, j'aimerais que tu changes quelques détails qui diraient qu'elle est inexpérimentée, vu son âge. <3

EN ATTENTE =)

Heu tentative de réfutation : Bah enfaite, comme Khanrell fait uniquement ça de sa vie depuis ses 5 ans, et que c'est la seule chose qu'elle sait faire, je voulais qu'elle soit bonne à ça, au moins Je peux laisser ça comme ça si je me vieillis de 2 ans? Comme ça, je ferais de la couture depuis 4 ans... c'est beaucoup tsay... quand on à ça dans l'âme <3. Mais c'est vrai j'avais oublié que le dessin devait disparaître, je corrige ça.

EDIT : je me suis vieillis de deux ans et j'ai écris que le lendemain, la robe était redevenu l'étoffe

D'accord, mais ça va emmener une certaine restriction RP... Faut VRAIMENT qu'elle sache juste faire ça. Ceci dit, à onze ans, c'est bien.

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