Sk Myno, Capitaine de l'Héritage (Premier Pirate en jeu) [Validé]

Pirate Aline Messages : 3 Date d'inscription : 29/05/2010

Citation :: Nom : Myno
Prénom : Schwartzkopf
Âge : 23
Orientation sexuelle: Pur et simple homme très viril qui cours après les femmes
Fonction : Pirate Aline

Ville de résidence : C’pas une ville, c’t’uuuun bateaaau ! Y s’appel Héritage, parce que c’est tout ce que j’ai eu et que j’aurai jamais de ma famille.
Relations: PNJ

Caractère : Schwartzkopf est un bâtard de naissance, et de personnalité. Aimant la boisson et les plaisirs charnels, il vogue sur la haute mer à la recherche d’aventure, de bateaux à piller, de femmes à profiter. Enfin, ça c’était quand il était sur le Dynamite. Il est désormais à la recherche d’un équipage tout neuf pour l’Héritage. C’est un gars pas mal stricte dans ces choix, c’est pour ça qu’il n’a encore engagé personne. Il a autant de cervelle que de muscles, et ne prend jamais de décision à la légère. En attendant de trouver les bon gars –et femmes- bin il se balade sur l’archipel, et renforcit son nom. Personne n’ignore qui est Schwartzkopf Myno…

Description physique: Physiquement, le Capitaine Myno est pas mal grand et imposant. Il a forgé sa carrure sur celle de son père, qui était un solide gaillard. Il a des cheveux noirs assez longs pour cacher la cicatrice en forme de croix sur sa joue. Une cicatrice qu’il reçu de son père pour une bêtise. C’est à peu près à ce moment là qu’il ne l’aima plus. Il a des yeux bleu-gris, la seule chose qu’il à hérité de sa mère. Il porte presque toujours son pantalon bouffant noir avec un t-shirt à col en laine. Par dessus, une armure plutôt basique en cuir et en métal léger. Évidemment, il porte toujours son sabre à la hanche.

Ce que vous aimez: La Mer, La bière, les femmes, les bagarres
Ce que vous détestez: Se retrouver devant plus fort que soit –pas très fréquent heureusement- ne pas se souvenir de ce qu’il a fait la veille (…) et les idiots

Histoire : Il s’appel Schwartzkopf Myno. Il est né sur le Dynamite, un de ses bateaux Alines à faire verdir de jalousie les pirates les plus cruels. Le Dynamite portait bien son nom : C’était une vraie bombe. Il était équipé comme un navire de guerre, mais en servait qu’à piller les idiots qui osait s’aventurer sur son territoire, et parfois même la terre ferme, où il accostait de temps à autre.
Le Dynamite était tenu de main ferme par Astar Myno, le père de Schwartzkopf, depuis bien avant la naissance de ce dernier. C’est Astar qui fut le premier à le faire voguer, et il en était très fier! Il avait engagé ses amis d’enfance, de solides gaillards, pour faire du Dynamite la terreur des mers. Un succès dont il peut se gorger sans mentir.
Si quelqu’un avait osé dire un jour à Astar qu’il serait prit à élevé un enfant, il se serait sans doutes moquer de ce crétin avant de le dépouiller. Astar violait et tuait ensuite, un possible héritier était une véritable farce pour lui. C’est pourquoi, le jour où après s’en être pris à un navire marchand et avoir capturé l’une de leurs plus belles femmes, il ne se doutait pas du tout de ce qui arriverait. Après l’avoir violentée, il l’a poignarda et la laissa pour morte dans la cale, ordonnant à un de ses marins de la jeter à l’eau lorsqu’ils auraient atteint la haute mer. C’était un jeune, un nouveau, sans expériences. Lorsqu’il descendit à la cale et qu’il vit le corps, il et comme un pincement au cœur. La pauvre femme, qu’avait-elle fait pour mériter ça? Rien… Rien et il le savait. Et il devait s’endurcir car les pirates Alines, en tout cas ceux sous les ordres d’Astar, n’avait pas le droit à ce genre de faiblesse. Il s’empara donc du corps meurtrit et se rendit alors compte que le Capitaine n’avait pas frappé directement au cœur… Étrange… En observant de plus près, il réalisa que la femme était toujours vivante. Son cœur l’emportant sur sa tête, il la cacha parmi les vivres et commença à prendre soin d’elle, en secret. Lorsqu’Astar lui posa la question, le jeune pirate affirma avoir jeté le corps à la mer. Personne ne remarqua que la femme était vivante, puisque c’était lui qui s’occupait tous les jours de monter la nourriture. Toutefois, en même temps qu’elle prenait de la forme, son ventre grossissait, ce qui amoindrissait les efforts du pirate pour la faire survivre. L’enfant à venir lui prenait toute son énergie. C’est pourquoi lorsque, neuf mois plus tard, elle mit au monde le bébé, elle mourut. L’accouchement difficile eut tôt fait d’attirer l’attention sur la cale, et le capitaine y descendit lui-même pour voir ce qui s’y passait. La première chose qu’il vit fut la femme. Il la reconnue, bien sur, et en fut si enragé qu’il mit un moment avant de voir le nouveau-née dans les bras de celui qu’il avait envie de trancher la tête. En voyant Astar, sabre à la main, s’approcher dangereusement d’eux, le jeune pirate s’empressa de cacher le bambin avec son propre corps.

-Espèce de menteur, tu va recevoir le châtiment qui t’es du pour cet affront! Tasse-toi! Il n’y a pas de place sur un bateau pour bébé!

-Si vous voulez toucher l’enfant, y faudra me tuer avant!

-Qu’est-ce que tu dis là, Bon à rien!?

-Vous ne pouvez pas tuer votre fils!

-Ce n’est pas mon fils!

-Vous savez bien que oui, il l’est!

Les pleurs du bambin les interrompirent à ce moment précis, ce qui mit Astar encore plus en rogne. Il tourna les talons en ordonnant à l’un de ses pirates de s’occuper d’eux. Indécis, les pirates fixèrent leur collègue un bon moment. Ils en avaient fait, des choses cruelles, et tuer un enfant n’était pas pire que ce dont ils avaient l’habitude… Et pourtant… Ils hésitaient.

-Sauvez le bébé… s’il-vous-plait sauvez le bébé…

Le pauvre gars ce mit à pleurer.

-Elle voulait l’appeler Schwartzkopf… Elle voulait qu’il vive, au dépend de sa propre vie… S’t’un survivant s’bébé-là… on peut pas le tuer…
Finalement, quelqu’un réussit à convaincre le capitaine de garder l’enfant. Il porta l’unique nom qu’on lui connaissait, soit Schwartzkopf, et fut élevé par son père, puisqu’il avait renvoyé le jeune pirate. Il décida que, tant qu’à s’encombrer d’un morveux, il en ferait une terreur des mers. Pire que lui-même.

Les années passèrent et Schwartzkopf ressemblait de plus en plus à son père. Il n’ignorait pas les circonstances de sa naissance, et il s’en foutait pas mal. Il devenait un pirate sans cœur, comme son géniteur, qui affirmait désormais être fier de son rejeton. Le fils par contre n’aimait pas beaucoup son père. Il commençait à se sentir supérieur à Astar, et ne désirait plus que voler de ses propres ailes… Il s’avait que, le jour où son père mourrait, le Dynamite serait à lui, et il commençait à trouver que ce jour n’arrivait pas assez vite… Même les autres membres de l’équipage le répugnait… tous des crétins sans cervelles. Lorsqu’il aurait son navire, il n’engagerait certainement pas ce genre de gorilles…

Finalement, un jour que le Dynamite s’attaquait à un autre vaisseau pirates, ils firent fasse à une défense plus solide que ce à quoi ils s’attendaient. Après des heures de combats sanglants, à peine la moitié de l’équipage du Dynamite était encore debout. Ils avaient gagnés, mais ils avaient subis de grosses pertes. Dont le capitaine lui-même. Schwartzkopf dut réprimer un sourire de victoire lorsque les derniers survivants se tournèrent vers lui, lui cédant son droit de capitaine à l’unanimité. Ils retournèrent à l’archipel Aline, car ils ne pouvaient tout simplement pas tenir longtemps avec aussi peu d’effectif. Lorsqu’ils accostèrent, Schwartzkopf annonça tout bonnement qu’ils étaient tous virés. Il ignora les nombreuses protestations, et les jetèrent tous dehors. Deux jours plus tard, on ne lisait plus «Dynamite» sur l’ancien navire du capitaine Astar, mais bien «L’Héritage». Il était temps de commencer à se faire un nom dans son monde. Schwartzkopf était enfin libre, il était enfin le chef. Il commença immédiatement la période de recrutement. Il était stricte quant aux sélections de ses futurs pirates, car il tenait à ce que l’Héritage soi plus puissant que le Dynamite, toutefois, contrairement à son père, il admit les femmes à bord. L’annonce de sa recherche eut tôt fait de se propager dans l’archipel, et le nom de Myno courrait sur les lèvres des intéressés. Myno était bien sur un nom connu, et son fils avait une réputation déjà supérieur à celle de son père…
Pourtant… Il n’avait que 23 ans…
Le recrutement se poursuit encore…

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